Organisation contre l'impérialisme américain.

Quelques blagues sur Bush
28/01/2004

Le Président George W. Bush fait le tour des écoles primaires afin de rencontrer les tous jeunes futurs votants du pays. Il entre dans une classe et arrive au moment où l'institutrice est en train d'expliquer aux enfants le sens du mot tragédie. L'institutrice se tourne alors vers le Président et lui propose de diriger la discussion.
Ainsi l'illustre dirigeant demande aux jeunes élèves de lui trouver un exemple illustrant le sens du terme qu'ils viennent d'apprendre.
Un petit garçon se lève et dit :
- Si mon meilleur ami qui vit à côté de chez moi joue tranquillement dans la rue et qu'une voiture le renverse, ce sera une tragédie.
Bush secoue tristement la tête :
- Non, mon petit... Ce serait un accident !
Un léger silence s'installe dans la classe. Le président insiste;
- Qui veut proposer autre chose ?
Une petite fille se lève alors à son tour:
- Un bus scolaire transportant 50 élèves tombe dans le ravin, et tout le monde meurt dans la chute. Ca, c'est une tragédie !
Bush secoue la tête à nouveau:
- Non, petite, il s'agit là d'une grosse perte pour le monde...
Cette fois, c'est un lourd silence qui tombe sur le groupe. Bush s'impatiente légèrement:
- Allons, les enfants ! Il n'y a personne pour me donner un exemple sérieux de tragédie ?
Alors, Petit Johnny du fin fond de la classe se lève:
- Si Air Force One alors qu'il transporte M. et Mme BUSH, est frappé par un missile et est pulvérisé en plein ciel, ça c'est une tragédie !
- Fantastique ! s'écrie le Président, le visage illuminé. Voilà une superbe illustration du mot tragédie ! Et peux-tu expliquer à tes petits camarades la raison pour laquelle ce serait une tragédie ?
- Parce que ça ne serait pas un accident et que ça ne serait sûrement pas une grosse perte !

Le Président des États-Unis téléphone au Premier ministre du Canada. George, demande:
- Jean, j'ai un service à te demander : j'aurais un urgent commande for you. Notre usine de condoms est hors-service. C'est un disaster.
- Ok George, calme-toi, qu'est-ce qu'on peut faire pour vous?
- Well Jean, j'aurais besoin d'environ 100 000 condoms le plus vite possible pour nous dépanner quelques jours.
- Pas de problèmes George, je t'envoie ça le plus vite possible.
Avant de raccrocher, George ajoute:
- Les condoms doivent être rouges, bleus et blancs, avoir 10 pouces de long et un diamètre de 4 pouces.
Jean est estomaqué avec les dimensions demandées. Il pense que George veut juste se vanter lui et toute la population masculine des États-Unis.
Néanmoins, il appelle l'usine de condoms.
- Bonjour, ici Jean Chrétien. Je voudrais 100 000 condoms pour envoyer aux États-Unis. Ils demandent qu'ils soient bleus, blancs et rouges, avec une longueur de 10 pouces et un diamètre de 4 pouces.
- WOW! Ils sont équipés pour veiller tard les Américains! Parfait monsieur Chrétien, je prépare cette commande. Autre chose?
- Oui, sur chaque condom écrivez: MADE IN CANADA. SIZE: SMALL.

Que dit-on quand Bush et sa femme vont en soirée ?
Voici Bush et sa dame (Bush et Saddam).

Les Irakiens sont dans la rue et crient :
- A bas Clinton, à bas Clinton !
Un autre Irakien intervient et dit aux manifestants :
- Ce n'est plus Clinton le président, c'est Bush.
Les manifestants répondent :
- Mais ça n'a aucun sens ! On ne va tout de même pas crier A babouche ! A babouche !

Un avion est sur le point de se crasher. Il y a 5 personnes à bord et seulement 4 parachutes.
Le premier passager dit :
Je suis Kobe Bryant, le meilleur joueur de la NBA. Les LA Lakers ont besoin de moi. Je ne peux pas mourir.
Il prend un parachute et saute.
Le second passager, Hillary Clinton dit :
Je suis la femme de l'ex-président des USA. Je suis aussi la femme la plus ambitieuse sur terre et je suis sénateur de New York et une potentielle présidente des Etats-Unis...
Elle prend le second parachute et saute.
Le troisième passager, George W. Bush dit :
Je suis le président des States. J'ai de grandes responsabilités. Je suis le leader du monde libre et de la plus grande nation mondiale. Et par dessus cela, je suis le président le plus intelligent de l'Histoire Américaine, donc les Américains ne veulent pas me voir mourir.
Il met le troisième parachute et saute.
Le quatrième passager, le Pape, dit au cinquième passager, un petit écolier de 10 ans :
Je suis vieux et malade et il ne me reste pas beaucoup de temps sur terre de toute façon. En tant que catholique, je te donne le dernier parachute...
Le gamin répond :
Non, c'est bon, il reste un parachute pour vous. Le président le plus intelligent de l'Histoire Américaine a pris mon cartable...

Bush arrive au Paradis devant Saint-Pierre.
- Nom, profession ?
- Bush, ex-président des USA !
- Trop facile ! Il me faut une preuve que vous êtes bien lui ! Vous savez, tant de gens se font passer pour Einstein ou Picasso !
- Qui ça ?
- Ok, tu peux rentrer.

Georges Bush rencontre Chirac à l'occasion d'un décision de l'ONU
- Dis-moi, Jacques, comment fais-tu pour avoir une équipe aussi performante, alors que moi je suis entouré d'une bande de crétins ?
- C'est simple, Georges, je teste mes ministres en permanence. S'ils répondent juste, ils restent. Sinon, je les vire. C'est la sélection naturelle, je suis sûr de ne garder que les meilleurs. Attends, tu vas voir.
Et Chirac appelle Dominique De Villepin
- Domi, je vais te poser une question. Tu connais la règle, si tu te trompes, tu es viré, prêt ? Alors voilà : c'est l'enfant de ta mère, mais ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?
De Villepin réfléchit quelques secondes, puis dit :
- Facile : c'est moi !
- Parfait, dit Chirac, je te garde.
Bush est très impressionné. A peine rentré à Washington, il convoque Colin Powell.
- Colin, je vais te poser une question. Si tu réponds juste, tu restes secrétaire d'Etat. Sinon, tu es viré. Voilà : C'est l'enfant de ta mère, mais ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?
Powell, qui connaît ses limites, demande un délai de réflexion. Bush lui donne 24 heures.
Il convoque son cabinet, et bientôt toute une bande d'énarques planche sur la question. Les hypothèses fusent. A la fin, un type plus malin que les autres dit :
- Il faut demander à son père ! Il a toujours raison, et il sait ce que le Président a derrière la tête. Excellente idée !
Powell appelle aussitôt Bush père.
- Allô Georges ? Voilà, c'est l'enfant de ta mère, mais ce n'est ni ton frère, ni ta soeur, qui est-ce ?
Bush père ricane légèrement et répond :
- Facile, c'est moi.
Le lendemain, Powell se précipite à la maison blanche.
- Monsieur le Président, Monsieur le Président, je sais qui c'est !
- Bien, bien Colin ! Alors, l'enfant de ta mère qui n'est ni ton frère ni ta soeur, qui est-ce ?
- C'est votre père, Monsieur le Président.
Bush ouvre des yeux ronds.
- Fais tes bagages, Powell La bonne réponse, c'est De Villepin !

Auteur :
Hellway

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